Différents symptômes sont considérés comme des “fatalités” et la réponse thérapeutique appliquée et celle des “anti-“…
En matière de douleurs vertébrales et rhumatismales cette assertion se vérifie constamment; il en est de même pour certaines pathologies dysfonctionnelles, déformatives ou chirurgicales.
Dans différentes manifestations, qui vont de l’arthrose à la scoliose en passant par les hernies discales, la composante mécanique est rarement prise en compte, or elle est fondamentale.
Toutes ces pathologies, et bien d’autres encore, ont en commun des contraintes anormales provoquées par un déséquilibre du système tonique postural et de ses différents capteurs.
C’est lui qui va provoquer des bascules, des rotations et des torsions au niveau de différentes pièces osseuses, de diverses articulations et provoquer des forces anormales sur les capsules articulaires, les surfaces cartilagineuses et les ligaments.
Ces contraintes seront responsables de différentes pathologies douloureuses chroniques et constituent un nombre important de motifs de consultation.
En matière de douleurs vertébrales et rhumatismales, différentes techniques se sont développées ces dernières années. Et si elles ont le mérite d’être moins iatrogènes que les anciennes, il n’en reste pas moins vrai que 47,6% de Français souffrent du dos et que plus de 26.000.000 de journées d’arrêt de travail sont perdues chaque année.
Les douleurs vertébrales et rhumatismales grèvent le budget de l’Etat et de la sécurité sociale “France”: ces chiffres sont la rançon des traitements symptomatiques.
La situation est identique dans les autres pays.